Veaux L’offre se montre juste suffisante
La décapitalisation du troupeau laitier accentue le déficit saisonnier de l’offre alors que la demande en veaux français reste régulière en prévision des sorties de novembre. Les intégrateurs limitent l’appel aux importations pour conforter la traçabilité « veau de France ». À l’exportation, la demande espagnole est peu active au regard des tarifs pratiqués en France ou en Allemagne, auquel il faut ajouter les frais de PCR. L’accroissement des coûts de production pèse aussi dans la balance.
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Cette semaine, les transactions sont fluides et les tarifs des veaux laitiers se montrent plus fermes. Les bons veaux prim’holsteins se négocient entre 100 et 120 € pour monter à 130, voire 140 € sur les cadrans bretons. La grande majorité des veaux laitiers et normands se vend entre 80 et 100 €. Les sujets montbéliards standards se commercialisent entre 170 et 220 € et les très bons veaux montent jusqu’à 250-270 €.
Dans les croisés laitiers et blanc bleu, les prix se tiennent mieux. Les taupes se valorisent entre 160 et 230 € et les sujets blanc bleu ou jaunes communs se négocient de 200 à 300 €. Les bons croisés montbéliards ou blanc bleu U de conformation partent entre 320 et 400 €, voire 450 € dans les meilleurs.
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